Achitecture de l’information dans les drops de Q.

Le présent texte est une traduction de la publication de Martin Geddes sur l’architecture de l’information, telle qu’elle est représentée dans les drops de Q .  Ce texte est d’une importance capitale, pour quiconque souhaite comprendre la complexité des drops de Q, et de la plus grande opération de communication de l’histoire de l’humanité.

Texte original en entier et en anglais,  posté le 30 juin 2022.

Retrouvez Martin Geddes sur  GAB et sur Anonup.

Les Drops de Q doivent être compris dans un contexte spécifique de guerre d’infiltration et de subversion. Il existe des contraintes légales, sur ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire et dire « officiellement » en tant que gouvernement ou entité militaire. Les drops de Q offrent un moyen de contourner les règles formelles sans les enfreindre ; tout doit être fait « dans les règles de l’art » ou « by the book ». Le mécanisme pour y parvenir est le déni plausible, avec un « doute accordable » quant à la provenance des informations proposées. Il y a “une ambiguïté et une incertitude” bien précises et visibles qui suggèrent une conception sophistiquée et de niveau avancée.

Les audiences.

Lorsque nous interprétons les drops de Q, nous devons garder à l’esprit qu’il existe plusieurs publics:

  • Acteurs ennemis – y compris les criminels, les gouvernements étrangers, le renseignement militaire.
  • Les “anons” (c’est-à-dire les chercheurs de vérité et les sldats numériques)
  • Le public « éveillé »
  • Le public « endormi »
  • Agents de la “de notre propre équipe” (police, armée, gouvernement, etc.) ne participant pas en tant qu’insiders ou «initiés » à cette guerre.
  • Les « initiés » au sein des divers corps ( police , armée , gouvernement, etc…) qui déploient le démantèlement militaire de la supermafia transnationale.
  • Et enfin les Alliés dans d’autres pays.

L’interprétation spécifique de ce qui est proposé peut varier en fonction du public, et toutes les informations ne sont pas destinées à tous les publics. Chaque élément semble être calculé pour avoir une influence planifiée sur son ou ses publics pertinents.

Le format des Drops

Tout ce qui se trouve dans les drops  a une (potentielle) signification: l’horodatage ( date et heure) , L’ ID du drop, la séquence dans les drops , le code de vérification cryptographique, le forum  utilisé, l’ID de l’appareil qui poste  et le contenu de la charge utile (ou format du drop). La signification peut ne pas exister sous une forme autonome ; il peut nécessiter une combinaison avec d’autres données dans d’autres drops ou une comparaison avec des sources externes. Les numéros de séquence des drops peuvent être significatifs, en ce sens que le numéro est également mappé sur une date, un événement, un code ou un autre objet significatif.

Il existe plusieurs formats de drops, y compris du texte long, des photos, des mèmes, des diagrammes, des hyperliens, des chaînes de code, de l’art ASCII, des blagues visuelles, des échecs ou des plateaux de jeu, et d’autres textes cités des forums sur lesquels ils apparaissent. Cependant, la forme dominante des drops est constituée de courtes déclarations séquentielles dans l’ordre – comme “WATCH THE WATER” – dont beaucoup sont proposées sous forme de questions utilisant la méthode socratique. Celles-ci ont souvent plusieurs interprétations possibles.

La grammaire dépouillée (et l’utilisation fréquente des majuscules) sert à augmenter l’ambiguïté et le polymorphisme. Le contenu est aussi parfois non signé, et parfois signé (par exemple « Q » ou « Q+ »). Les majuscules, les espaces et les fautes d’orthographe sont également généralement significatifs. Que les drops soient ensuite supprimés ou non a également une importance potentielle. Ils sont généralement lus de haut en bas, mais il est possible que certains soient interprétés dans l’autre sens ou entrelacés d’une manière ou d’une autre.

 « Futur confirme le passé » ou « Future proves past »

N’importe qui peut poster sur les forums sur lesquels les drops de Q apparaissent, et les canulars y sont un passe-temps populaire. Il est naturel d’être sceptique quant à l’information offerte, compte tenu de sa base informelle et non attribuable. Pour gagner en confiance, en crédibilité et en légitimité, les drops de Q utilisent une méthode de démonstration de la prémonition qui ne peut être détenue que par un acteur étatique occupant les postes les plus élevés au sein du gouvernement des États-Unis.

Dans le contexte d’une guerre, vous ne pouvez pas publier à l’avance votre plan de bataille à la vue de tous. La désinformation fait également partie intégrante de la tromperie des forces ennemies, forçant les erreurs d’action. Cela crée une asymétrie : d’incertitude (ou de fausse certitude) avant les événements, et de certitude après leur passage. L’incertitude préalable génère un large éventail, dans la façon de combiner et d’interpréter les données de  Q, ce qui génère un nombre impossible de scénarios opérationnels à évaluer et auxquels répondre. Toute tentative ensuite pour deviner le plan de bataille à partir des données présentées conduit au mieux à de fausses conclusions et à des erreurs stratégiques non forcées.

Cependant, les drops de Q sont structurés de manière qu’après les fait la prémonition du plan de bataille soit indiscutable. C’est un peu comme le fonctionnement d’une structure de données unidirectionnelle telle qu’un filtre Bloom. Nous pouvons démontrer l’appartenance à l’ensemble des « événements annoncés » sans les divulguer. En tant que tels, ceux qui lisent les drops peuvent tenter de faire des prédictions avec une date limite, mais cela conduit invariablement à l’embarras. La direction générale peut être certaine, mais le moment ne l’est jamais.

De plus, tous les drops peuvent ne pas être « activées » avec le temps. Certains drops peuvent simplement être des options sur des branches spécifiques d’un plan stratégique, à utiliser en cas de besoin. En effet, certains peuvent être des « leurres d’information » pour attirer l’attention et l’action sur des voies inutiles pour l’ennemi, ou pour distraire le public lorsque cela est nécessaire sur le plan opérationnel et justifié sur le plan éthique.

« Preuves de Q» ou « Q proofs »

Le terme familier « preuve de Q » est (mal) utilisé pour décrire un élément de preuve que les drops de Q sont le résultat intentionnel d’une activité opérationnelle par des acteurs du renseignement militaire de haut rang. Individuellement, chacun est vraisemblablement niable ( déni plausible) , mais aucun n’est une preuve absolue  en solo. Collectivement, ils sont convaincants comme preuve dénué de tout doute raisonnable ; il faudrait être un « théoricien des coïncidences » pour les rejeter tous comme étant des accidents, compte tenu des probabilités extrêmes.

Les « preuves » peuvent être des « coups de chance improbables » d’événements dans le monde réel annoncés dans les drops ; des mots spécifiques connus à l’avance (par exemple, à partir d’un rapport qui est déclassifié plus tard, ou d’un discours qui n’a pas encore été prononcé, le moment de certains événements (comme mentionner à l’avance  un élément pertinent le même jour de l’année, avec parfois, plusieurs années d’avance), ou une pré-connaissance ou encore un vocabulaire, un personnage ou un lieu.

Les « preuves de Q » ou “Q proofs” sont un cas particulier de « futur confirme le passé » ou “future proves past” visant à établir la provenance quasi-officielle des drops. L’utilisation plus large du « futur confirme le passé» donne au public la confiance qu’il observe un processus planifié de nombreuses années à l’avance, et devrait donc agir selon les instructions et rester calme lorsque tout ce qui est actuellement caché explosera dans la sphère collective. Ainsi, toutes les “preuves de Q” utilisent la méthode “futur confirme le passé”, mais toutes les utilisations de ” futur confirme le passé” ne sont pas des “preuves de Q”.

Format des dates et heures des drops.

Les drops ont des horodatages, ainsi que des références aux dates et heures. Ces repères temporels peuvent être considérés comme étant associés à des chronologies particulières ou à des “branches d’événements possibles”. La structure de l’heure dans les drops de Q n’est pas linéaire et elle est principalement adaptée aux formats d’heure cycliques. La dominante (mais pas la seule) est la “Q clock“, qui est une manière “modulo 60” d’associer les jours écoulés depuis la chute initiale. L’approche « penser en miroir » s’applique également, « +30 modulo 60 » étant le bras « opposé » du même groupe de drops.

Les différences de temps ou « deltas » entre les événements ont une signification (énorme !) et peuvent être exprimées en minutes, heures, jours, mois ou années. Il y a aussi des “décalages” en jeu tels que “2 jours d’avance sur le calendrier”, ainsi que des erreurs “mineures” comme le “bruit” introduit pour éviter une prévisibilité trop importante des événements futurs. Plusieurs calendriers sont en jeu et peuvent également faire référence aux formats du calendrier grégorien, julien, chinois, juif, éthiopien ou orthodoxe.

Manipulation de données.

Les données contenues dans les drops ne peuvent être interprétées qu’après avoir été manipulées d’une manière ou d’une autre. Ceci comprend :

  • Concaténations de chaînes et/ou sous-chaînes
  • Correspondance entre les types de données, tels que l’heure de la journée (“12:03”) et l’ID de dépôt (1203)
  • Renversements (“pensez effet miroir”)
  • Indirections via les recherches

Il peut aussi y avoir des allusions visuelles, comme un “\/” représentant la lettre “V”. La relation entre les éléments de données peut être « proche de… », sans correspondance parfaite. Les données (telles que les drops eux-mêmes) peuvent être dans des séquences, la proximité étant importante.

Références externes :

Il existe de nombreuses formes de référence à des sources externes dans les drops. Ceux-ci incluent des codes pour :

  • Caractères spécifiques, tels que “45” pour le président Donald Trump
  • Numérologie significative (avec le 17 comme «Q» lui-même étant un signe pour «victoire»)
  • Communications militaires (comme 55 ou 5: 5 pour “fort et clair”)
  • Livres, notamment la Bible
  • Les films et leurs intrigues
  • Événements et dates historiques
  • Publications sur les réseaux sociaux comme Twitter, Truth Social ou Anonup
  • Acteurs spécifiques de la guerre, tels que “P” en tant que chef de l’ennemi
  • Astrologie et astronomie
  • Références occultes

Les ennemis sont généralement indiqués en les mettant entre crochets dans les drops.

Le sujet de la gématrie mérite à lui tout seul un article entier. En bref, n’importe quelle chaîne de drops peut être hachée (via l’addition des lettres et leur position dans l’alphabet) et comparée à d’autres qui hachent à la même valeur. Des tables de recherche externes avec des données de fréquence nous donnent une autre sémantique de “correspondance”.

En conclusion :


J’espère que ces informations vous donnerons  une idée de la richesse, de la structure, et du contenu des drops de Q.  On peut examiner et évaluer les drops en tant qu’objets historiques sans avoir à souscrire à une quelconque idéologie politique, ou décider quel pourrait être leur objectif final. Compte tenu de ce qui est présenté ici, je pense que vous conviendrez qu’il est peu probable que ce soit le travail d’amateurs – et certainement pas “un gamin dans le sous-sol de ses parents”.

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